Suite à l‘annulation du concert de H-Burns & The stranger quartet (pour raison de cas de covid dans le groupe) c’est Blond Neil Young (Stéphane Louvain et son gang au grand complet) qui rejoint la soirée au pied levé !
Que vous soyez ou pas déjà familier de l’œuvre de Neil Young, vous serez sensible au traitement d’orfèvre avec lequel Stéphane Louvain entouré de six musiciens de première classe, interprète fidèlement les plus belles chansons du musicien canadien. Sans fioriture, en version acoustique et électrique, BLOND NEIL YOUNG rend hommage avec brio et affection à la légende américano-canadienne.
De Zuma à Harvest, en passant par After the Gold Rush, Comes a Time ou Everybody knows this is nowhere, la formation égrène les pépites musicales dans un spectacle émaillé d’anecdotes sur la vie du natif de Toronto et l’histoire de ses morceaux.
Une création originale dans laquelle les ballades folk planantes et mélancoliques invitent à une chevauchée épique et onirique.
Chanteur-guitariste au sein de The Little Rabbits et French Cowboy, musicien pour Katerine et Jeanne Cherhal, Stéphane Louvain, l’instigateur du projet, s’est entouré d’une équipe de musicien·nes de première classe, recrutée parmi plusieurs formations de la scène nantaise et rennaise (French Cowboy, Al Von Stramm, Tiny Scalp, Santa Cruz, Rock Roll & Remember) : Eric Pifeteau, Enid Gay, Vassili Caillosse, Arianne Jacquet, Jérôme Vermorel et Emilie Bernard.
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Ancien skateur professionnel, Kēpa n’était pas destiné à devenir musicien. Et puis à 25 ans, il est diagnostiqué d’une méchante maladie inflammatoire l’obligeant alors à passer de la planche au plancher, du bol à la scène. Gros coup donc, que Kēpa va soigner par sa passion pour le blues de Bukka White.
Artiste autodidacte tout-en-un, compositeur, interprète, il manie ses guitares Dobro comme il joue avec son harmonica et tout un attirail sonore : de manière débridée et inspirée. Sa belle voix grave, son blues lent et hypnotique nous entraînent à la dérive, du côté des grands espaces américains.